Les ruptures, les verres de vin qui gisent un peu ici-et-là.
Les grands mots, les poètes et le néant qui s’en suit.
Les pourquoi pas mais je vais rentrer.
Les nuits trop courtes et le ciel qui part du mauvais côté.
Le temps qui fuit, les lits d’hôpital.
Les couloirs et le silence. Les on verra bien mais il n’y a plus grand chose à faire.
Les rencontres et soudainement, le sommeil qui ne vient plus.
Les hier sans, et les aujourd’hui avec.
Les nouvelles respirations.
Les gens tempérés.
Les mous, les absents. Les je ne sais pas.
Les angles qu’on n’arrondit pas et les cafés trop doux. Les fins de soirée un peu trop pâles.
Les cigarettes sans musique et le vent sans frissons.
Les raccourcis, l’attente, les temps morts, les histoires sans chute et les baisers sans secousses. Le truc que t’as dans le bide quand on t’embrasse sur le front.
Je ne comprendrai jamais mais c’est sûrement mieux comme ça.
Des refrains qui me semblent d’actualité…. pour moi!
J’aime vraiment ce que tu écris, le fond tellement vrai! Le truc c’est que quiconque lit tes textes ne peu que s’identifier, mettre des mots enfin sur ce qu’il pense…parce qu’au final c’est ça, c’est ce qui nous trotte tous, ce sont des ressentiments que l’on a eu à un moment ou un autre, c’est une périodes ou même le présent de la vie de chacun d’entre nous!!
très joli texte j aime beaucoup merci Ovary
Merci Flo
Et merci Caramel : le grand retour !