Bon, eh bien, je vous la souhaite bien bonne.

Des cigarettes interminables et des vendredis soirs un peu tous les soirs.

Je vous souhaite des mains dans vos cheveux et vos cheveux sur d’autres oreillers.

Des billets retrouvés au fond de vos poches.
Et des appels que vous n’attendiez plus.

Quelques verres de trop et des fous rires qui valent trois steaks.

De grandir mais pas trop.

Du courage, et des déclarations d’amour à deux balles.

Des pokes et des rideaux à décrocher.

Je vous souhaite de faire n’importe quoi ou à peu près.
De chercher le bon moment et puis de vous planter. Parce que le bon moment n’existe pas.

Je ne sais pas comment conclure. Mais ça sert à rien de conclure. 
C’est plus sympa de se dire que tout commence, je crois. Bref, bananier à tous.